lundi 6 septembre 2010

Suzanne et le marathon de Montréal


MADE IT... je l'ai fait!

En fin de semaine, à Montréal, Suzanne Sauvé-Hiron a participé au Marathon de Montréal. «C'était le demi-marathon auquel j'ai participé. Un défi, que mon fils et moi nous nous étions lancé, à Noël dernier». Suzanne habite à Ottawa. Un marathon ne s'improvise pas. Donc Suzanne et son fils se sont entraînés toute l'année: «Nous avons d'abord fait nos classes ensemble pour participer au 10 km à Ottawa, en mai dernier. Jean-Philippe est comptable; alors l'entraînement sérieux laisse plutôt la place aux impôts et au boulot. Donc le demi-marathon de Montréal était tout indiqué pour le temps de l'année et le plaisir de s'entraîner pendant l'été»

La mère et le fils ont donc pris le départ du demi-marathon avec des objets différents; lui, le faire en moins de 2h (il l'a réalisé en 1h58; et pour la mère, le finir, c'était déjà un bel objectif, entre 2h30 et 2h45 (elle a atteint son objectif: 2h37).

Les gens qu'elles aiment dans les oreilles...


Suzanne ne cache pas les difficultés rencontrées: «Courir 21 kilomètres, ce n'est pas toujours facile, particulièrement monter les côtes! J'écoutais de la musique qui me rappelait les gens que j'aime. Chaque «toune», chanson m'inspirait un souvenir de mon petit-fils Christophe; de mon autre fils Pascal, de ma visite au Québec, de mon chum (ami) de l'Alberta et je me projetais dans une zone de grande sérénité. En plus, courir Montréal c'est inexplicable: mes racines, mon chez moi... Entrer au Stade olympique de Montréal est un moment inoubliable qui me donne encore des frissons, juste à y penser.»

Même si ses muscles ont un peu raidis, je le referais sans hésiter!

Les photos ont été prises par le mari de Suzanne, Brad Hiron, fier probablement des performances de deux membres de sa famille. Bravo Suzanne.

Marie-Aimée aurait perdu son sac à dos...



Toujours sur le chemin de Compostelle

Vous vous souvenez, je demandais des nouvelles de Marie-Aimée, une sexagénaire partie pour Compostelle à la mi-août! Nous en avons eues de partielles: elle se serait fait mal à un pied, mais rien de grave. Elle continue, mais sans son sac à dos; en effet, elle le trouvait trop lourd, elle a donc décidé de le faire voyager à sa suite: malheureusement, on a perdu son sac! Si vous êtes sur le chemin de Compostelle, dites bonjour à Marie-Aimée, et demandez-lui si les choses vont mieux. Faites-nous part de ses nouvelles.
danieleminy@hotmail.com

Fred Pellerin

Fred Pellerin (Photo: D. Miny)
La magie de Fred Pellerin

C'est plutôt mon habitude de rire en me levant! Aujourd'hui en visitant mon Facebook, j'ai trouvé celui de Fred Pellerin. Évidemment, impossible de rester de mauvaise humeur, le cas échéant, en se souvenant des spectacles auxquels j'ai assistés. Cette simplicité, cette énergie, ce talent à parler des choses de la vie avec des phrases époustouflantes et plus qu'hilarantes. Le premier rendez-vous avec cet artiste, c'était au Théâtre du Vieux-Terrebonne; j'y faisais un compte-rendu du spectacle pour la Revue de Terrebonne: j'ai ri du début à la fin; j'en avais des crampes aux mâchoires.


Une rencontre
Le hasard de la vie a voulu, récemment, que je sois assise près d'un charmant monsieur Matteau de Ste-Élie de Caxton, village de Fred Pellerin dont il a fait «sa muse» pour raconter, dans ses prestations, l'histoire des gens qui y habitent. «J'ai connu son père...», me dit mr Matteau. «Et c'est vrai ce qu'il raconte sur nous; son histoire de lutins aussi». Des lutins? Si jamais, vous rencontrez Fred Pellerin, demandez-lui de vous raconter d'où origine cette histoire de lutins? Son site.

Bon lundi de la Fête du travail pour les gens d'Amérique du Nord, car ailleurs c'est le 1er mai. Au programme de la journée, une dizaine de minutes de rire pour vous inonder d'endorphines  (ou endomorphines) bonnes pour la santé. Rire plusieurs minutes équivaut à, si je me souviens bien, à trente minutes de marche. Voici les bienfaits du rire sur vous: LES BIENFAITS



Mon village: Maskinongé

 Texte et photos Danièle Miny Il y a cinq ans, je m'installais à la campagne. Je m'y suis trouvée une maison quasi centenaire où il ...