vendredi 21 janvier 2011

Éthique journalistique

Ton voisin a-t-il froid?

Au Québec, la température annoncée sera sibérienne. Je viens d'entendre à la radio un appel du Bon Dieu dans rue, mais cet organisme s'appelle maintenant Dans la rue... Avez-vous des mitaines, des chaussettes de laine bien chaudes, des vieux chandails, et pourquoi pas des chandails neufs....

Je n'hésite pas à parler du Bon Dieu dans la rue, car, comme je l'avais décrit dans un message antérieur, j'ai passé une soirée complète dans l'autobus qui sillonne les rues du centre-ville de Montréal pour offrir à manger, à boire, un espace pour se réchauffer quelques minutes, et une oreille attentive pour les personnes qui viennent attendre l'autobus. J'ai vu la misère dans son plus grand dénuement; mais j'ai vu aussi des bénévoles totalement donnés à cette oeuvre: étudiante finissante en médecine, professionnels, gens d'affaires, etc. Ils font les hots-dogs, servent le chocolat chaud, le café. L'autobus s'arrêtait parfois devant une boulangerie, une épicerie, car certains commerçants partagent et offrent gratuitement quelques denrées.

Catho, je m'attendais à entendre sur les ondes des radios, ce matin, «nos sous-sols d'église seront ouverts; une soupe chaude, des couvertures....pour vous réchauffer pendant cette période de froid intense» Rien! Probablement qu'ils le font anonymement! Enfin c'est mon souhait!

De mon côté, je vais faire ce que je peux, avec les moyens que j'ai. Parlez c'est beau, mais agir c'est un plus!





lundi 17 janvier 2011

Ouvrez les églises, ouvrez les gymnases...


Ouvrez les églises; mettez des sacs à couchage; faites fonctionner vos popotes volantes. 

J'ai un jour passé une soirée dans l'autobus de Le Bon Dieu dans la rue, pour une reportage; j'ai vu des situations qui m'ont tellement émues... tellement! Mais les commerçants donnaient beaucoup grâce à un bénévole, le chauffeur de l'autobus, un homme d'affaires (juif) qui donnait de son temps pour aider. Les gens attendaient leur petit hot-dog et chocolat; il pleuvait à boire debout dehors. Les chiens des itinérants, des pauvres qui venaient se réchauffer ou prendre un repas chaud; malheureusement la génératrice est tombée en panne; les gens ont mangé leurs hots-dogs froids... le chocolat tiédi dans un thermos. Les chiens léchaient la moindre miettes qui tombaient sur le plancher de l'autobus.

J'ai vu des gens mangé trois... quatre, cinq hots-dogs l'un à la suite de l'autre, tellement ils avaient faim... en oubliant de respirer entre chaque bouchée...

Pourquoi en 2011. J'ai une idée, mais tout le monde n'a pas l'énergie et la débrouillardise de se sortir d'un mauvais pas.

Ne soyez pas indifférent. Là au Québec, ces dernières heures, on parle de -30 Celsius.

Merci Mélanie Savage, de la Revue de Terrebonne, d'avoir eu une pensée pour les gens qui sont dehors par ce temps... épouvantablement froid.


Site: http://fr-ca.meteo.yahoo.com/canada/quebec/quebec-3444/

Haïti et sa forteresse Laferrière

Site: Forteresse

mercredi 12 janvier 2011

Haïti

 Une goutte d'eau dans la mer... mais pas d'indifférence

J'avais écrit un long texte, mais je me suis vite aperçue que c'était un «texte de trop» dans cette mer d'information ou de réflexion qui déferlera aujourd'hui pour parler d'Haïti. J'ai conservé seulement mon titre...

Je vais plutôt passer ma journée à me demander comment je pourrai aider au moins une seule personne en difficulté, dans ce pays.






 




dimanche 9 janvier 2011

Les rêves

Samedi, Jacques Languirand, à son émission Par 4 chemins, a parlé d'un sujet qui m'intéresse: les rêves.
Des études ont été faites auprès de gens en fin de vie, et leurs rêves, les leurs et ceux de leurs proches:

Site: REPÈRES

vendredi 7 janvier 2011

Des oiseaux en méditation

Toujours trouver le bon côté des choses...

L'an passé, en sortant d'un restaurant de la rue Ste-Catherine à Montréal, j'ai vu un groupe d'oiseaux, un centaine au bas mot qui avaient le corps prosterné, tous la tête dirigée vers le nord. Évidemment, j'ai dit au monsieur qui était avec: «Regarde, on dirait qu'ils prient».  Je n'ai pas été prise au sérieux; mais au coin de la rue, j'ai croisé deux dames: «Regardez, les oiseaux semblent prier».

Je n'avais jamais vu cela de ma vie! C'était beau à voir... mais pourquoi aujourd'hui des oiseaux tombent du ciel... et qu'on les remarque? Paraît-il que c'est un phénomène normal, si on peut considérer cela comme normal... pauvres petites bêtes!

Ce sont ceux-là; j'étais allée chercher mon appareil photo, mais la séance de recueillement était terminée.

Allègrement vers les 6 000 visiteurs

La Plume visiteuse est lancée vers son 6000e visiteur.

Merci, je le dirai à chaque fois que je dépasserai un millième visiteur. Merci de continuer à suivre les informations insérées au gré des trouvailles sur des sites internationaux, nationaux et locaux.

Encore bonne année

lundi 3 janvier 2011

Quel mal faisons-nous?

Le droit de croire...

Beau réveillon en famille, bonnes boustifailles et quelques vapeurs d'alcool, juste assez pour rire davantage... mais aussi, toujours consciente d'améliorer la vie ensemble sur cette boule bleue.

Certes ce qui se passe en Égypte me touche; une bombe a explosé dans une église copte faisant plusieurs morts! Le hasard aujourd'hui a fait qu'en fouillant dans mon dossier sur mon voyage en Israël, en 2009, je sois tombée sur le cd où j'ai vu vingt-cinq personnes renouveler dans la paix, l'harmonie, la joie et la solidarité... dans les eaux du Jourdain... leur baptême, dont moi qui pleurait comme une Madeleine. Quel mal faisons-nous pour attirer tant d'agressions? Le respect de tous et de toute croyance... un souhait pour 2011.

Pourquoi tant de haine? Pourquoi empêcher les gens de vivre selon leurs croyances, quelles qu'elles soient. La liberté humaine dans le respect d'autrui, ce ne sont pas que des mots ou des concepts, ils sont à promouvoir partout où un être humain respire sur la planète.

http://www.20minutes.fr/article/646194/monde-egypte-chretiens-inquiets-apres-attentat-alexandrie

Mon village: Maskinongé

 Texte et photos Danièle Miny Il y a cinq ans, je m'installais à la campagne. Je m'y suis trouvée une maison quasi centenaire où il ...