jeudi 28 octobre 2010

Copain comme cochon?

Passer véritablement du coq à l'âne
C'est instructif et drôle, donc La Plume visiteuse publie le message de Monique:


Très bizarre, la langue française... mais quelle belle langue! Bonne fin de semaine. Monique  Les  termes empruntés au monde animal sont partout.

La preuve :

Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf,  têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.
Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat ! 

Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié :
" Cette poule a du chien, une vraie panthère ! " C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien.  Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive. 

  Bon, dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion, est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine. 
Vous restez muet comme une carpe.  Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le bourdon, envie de  verser des larmes de crocodile. Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon ! 
                Curiosités de la langue française ! 

- On remercie un employé quand on n'est pas content de ses services. 
- On passe des nuits blanches quand on a des idées noires. 
- Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné
  qu'il est dans de beaux draps ?
 
- Pourquoi, lorsque vous dites à quelqu'un : « Je ne partage pas votre avis »,  
  il peut répondre « Les avis sont partagés » ? 
- Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ?
 
- Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint.
  Quand il est mort, on l'appelle « feu ».
 
- Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?
 
- Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre,
 puisque la terre est ronde ?
 
- Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux personnes  vous disent à la fois : « Je viens de louer un appartement ?
   - Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ? 
- Pourquoi appelle-t-on coup de grâce le coup qui tue ?
 
- Pourquoi lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi,
   faut-il en mettre de côté ? 
- Le pot a des oreilles et nous disons : « sourd comme un pot ».
 
- Pourquoi dit-on : « embarras de voitures » quand il y a trop de voitures,  et « embarras d'argent » quand il n'y a pas assez d'argent ?

Copain comme cochon?

Passer véritablement du coq à l'âne
C'est instructif et drôle, donc La Plume visiteuse publie le message de Monique:

 
Très bizarre, la langue française... mais quelle belle langue! Bonne fin de semaine. Monique  Les termes empruntés au monde animal sont partout.

La preuve :

Que vous soyez fier comme un coq, fort comme un boeuf,  têtu comme une mule, malin comme un singe, chaud lapin ou fine mouche, vous êtes tous, un jour ou l'autre, devenu chèvre pour une caille aux yeux de biche.
Vous arrivez frais comme un gardon à votre premier rendez-vous et là, pas un chat !

Vous faites le pied de grue, vous demandant si cette bécasse vous a réellement posé un lapin. Le type qui vous a obtenu ce rancard, avec lequel vous êtes copain comme cochon, vous l'a certifié :
" Cette poule a du chien, une vraie panthère ! " C'est sûr, vous serez un crapaud mort d'amour. Mais tout de même, elle vous traite comme un chien.  Vous êtes prêt à gueuler comme un putois, mais non, elle arrive.

  Bon, dix minutes de retard, il n'y a pas de quoi casser trois pattes à un canard. Sauf que la fameuse souris, avec sa crinière de lion, est en fait plate comme une limande, myope comme une taupe, elle souffle comme un phoque et rit comme une baleine.
Vous restez muet comme une carpe.  Elle essaie bien de vous tirer les vers du nez, mais vous sautez du coq à l'âne et finissez par noyer le poisson. Vous avez le bourdon, envie de verser des larmes de crocodile. Vous finissez par vous inventer une fièvre de cheval qui vous permet de filer comme un lièvre. Vous avez beau être doux comme un agneau, faut tout de même pas vous prendre pour un pigeon ! 
                Curiosités de la langue française !

- On remercie un employé quand on n'est pas content de ses services. 
- On passe des nuits blanches quand on a des idées noires.
- Pourquoi dit-on d'un pauvre malheureux ruiné
  qu'il est dans de beaux draps ?

- Pourquoi, lorsque vous dites à quelqu'un : « Je ne partage pas votre avis »,  
  il peut répondre « Les avis sont partagés » ?
- Pourquoi un bruit transpire-t-il avant d'avoir couru ?

- Quand un homme se meurt, on dit qu'il s'éteint.
  Quand il est mort, on l'appelle « feu ».

- Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ?

- Pourquoi parle-t-on des quatre coins de la terre,
 puisque la terre est ronde ?

- Comment distinguer le locataire du propriétaire lorsque ces deux personnes  vous disent à la fois : « Je viens de louer un appartement ?
  - Comment peut-on faire pour dormir sur les deux oreilles ?
- Pourquoi appelle-t-on coup de grâce le coup qui tue ?

- Pourquoi lorsque l'on veut avoir de l'argent devant soi,
  faut-il en mettre de côté ?
- Le pot a des oreilles et nous disons : « sourd comme un pot ».

- Pourquoi dit-on : « embarras de voitures » quand il y a trop de voitures,  et « embarras d'argent » quand il n'y a pas assez d'argent ?

Bienvenue à des nouveaux lecteurs

La Plume visiteuse remercie ses nouveaux lecteurs: de Russie, de la Martinique, des Pays-Bas, d'Algérie, etc.

Au Chili, le respect des disparus, et en France

 Au Chili
En 1998, j'ai appris plusieurs choses sur la culture chilienne. Un dimanche, nous sommes allés dans un cimetière, à Santiago, capitale du Chili, pour rendre hommage à l'ami disparu de l'ami avec qui j'étais. C'est une véritable réception au cimetière: les familles y vont: parents et enfants, et même bébé dans sa poussette. Le gens apportent leur chaise et leur dîner ou pique-nique qu'ils mangent sur les lieux autour de la pierre du défunt. Ils fleurissent la tombe, la dépoussière... c'est un rituel! Il y a de la joie: les gens parlent et rient; pour un étranger, le regard est stupéfait!

En France
Lorsque j'étais enfant et que je vivais en France, je me souviens de deux rituels: celui de ma grand-mère française qui allait régulièrement sur la tombe de mon grand-père pour y déposer des fleurs ou passer le balai ou le chiffon. C'était un vaillant mineur décédé de la silicose (du charbon sur les poumons), au début de la cinquantaine. Quant à mon autre grand-mère, Polonaise, elle préparait des chrysanthèmes de plusieurs couleurs. Selon la température d'octobre, fraiche ou froide, elle les laissait dehors le jour quand il y avait soleil, et les rentrait tous les soirs au grand désarroi de mon grand-père, lui aussi mineur. Puis le 1er novembre venu, elle allait les déposer au cimetière pour honorer une parente.

Des rituels
C'est un rituel, en France, comme au Chili, d'aller rendre hommage aux ancêtres; laver la pierre tombale et la fleurir. Pour ceux qui possèdent des tombes en pierre ou en granite, l'exercice est plus difficile, mais ceux qui ont du marbre, le travail est allégé.

Les marrons
J'ignore si cette coutume est celle de tous les Français, mais pour se réchauffer on mangeait des marrons chauds; un vendeur avec son bac à cendre ou ses charbons ardents nous en préparaient. On se réchauffait ainsi les mains parfois en rencontrant les membres de la famille dont on n'avait pas souvent des nouvelles.

1er novembre
Ce sera la Toussaint le 1er novembre. Une petite pensée pour ceux et celles qu'on a aimé et qui nous ont quitté... parfois, même trop souvent bien trop tôt!

Pour nos soldats
On fait semblant peut-être d'ignorer que notre pays est en guerre: Afghanistan. D'autres soldats partent encore ces jours-ci. Mais depuis quelques années, quelques-uns n'en reviennent pas. Une pensée pour eux, et une prière des croyants.

Un champignon qui vaut de l'or

Yarchagumba
Séparer le bon grain de l'ivraie
Je regardais une émission Envoyé Spécial; leurs émissions sont toujours très intéressantes: il était question cette fois de champignon: une chenille qui se transforme en champignon lorsque, après sa mort, elle sèche! Le Yarchagumba.

Des familles pauvres vont à quelque 5000 mètres, dans l'Hymalaya, une fois par année, je crois, pour les extraire de la terre; parfois, des intempéries ne laissent pas à certaines personnes d'échapper à la fatalité. Ce champignon serait de «l'or» selon la médecine naturelle chinoise. Ces gens y vont pour gagner un peu d'argent pour nourrir leurs enfants et leur permettre d'aller à l'école, et se font probablement rouler sur le prix pour chacun des petits champignons offert par des revendeurs qui eux quintupleront ce prix auprès de leurs acheteurs potentiels.

Mais évidemment, dans des laboratoires, on essaie de reproduire chimiquement les mêmes propriétés naturelles! Mais, toujours reproduire ce que fait si bien la nature... ça va finir par rendre la terre stérile, à mon avis et créer de plus en plus de pauvreté... mais qui suis-je pour en juger?

Mais Georges Halpern, un scientifique vous informera mieux! Il semble très près de la vie, de la nature et des gens!

Yarchagumba

Yarchagumba
Séparer le bon grain de l'ivraie
Je regardais une émission Envoyé Spécial; leurs émissions sont toujours très intéressantes: il était question cette fois de champignon: une chenille qui se transforme en champignon lorsque, après sa mort, elle sèche! Le Yarchagumba.

Des familles pauvres vont à quelque 5000 mètres, dans l'Hymalaya, une fois par année, je crois, pour les extraire de la terre; parfois, des intempéries ne laissent pas à certaines personnes d'échapper à la fatalité. Ce champignon serait de «l'or» selon la médecine naturelle chinoise. Ces gens y vont pour gagner un peu d'argent pour nourrir leurs enfants et leur permettre d'aller à l'école, et se font probablement rouler sur le prix pour chacun des petits champignons offert par des revendeurs qui eux quintupleront ce prix auprès de leurs acheteurs potentiels.

Mais évidemment, dans des laboratoires, on essaie de reproduire chimiquement les mêmes propriétés naturelles! Mais, toujours reproduire ce que fait si bien la nature... ça va finir par rendre la terre stérile, à mon avis et créer de plus en plus de pauvreté... mais qui suis-je pour en juger?

Mais Georges Halpern, un scientifique vous informera mieux! Il semble très près de la vie, de la nature et des gens!

Un peu d'humour
Un peu d'humour, car j'en ai besoin en écoutant toutes ces nouvelles: j'ai des vers blancs sur mon terrain... qui sait, j'ai peut-être une fortune sur mes 10 000 pieds carrés! En brochettes, peut-être!

Les plus beaux jardins du monde

Site: http://www.jardins-du-monde.com/

Éco-attitude, pour un monde durable

Site: http://www.salon-marjolaine.com/

Ouïe à New-York?

Site: http://matin.branchez-vous.com/nouvelles/2010/10/ouie-new-yorkais-peril.html

Encore le volcan!

Site: http://matin.branchez-vous.com/nouvelles/2010/10/indonesie_le_volcan_merapi_ent_1.html

Comment vont vos phares?

Site: http://matin.branchez-vous.com/nouvelles/2010/10/attention_aux_phares_uses_dit.html

Un charter pour les études

Des étudiants de France viennent étudier à Montréal, notamment aux H.E.C. , en Roumanie et en Belgique pour obtenir un diplôme; reportage intéressant de Envoyé spécial.
Site: http://envoye-special.france2.fr/index-fr.php?page=reportage&id_rubrique=1760

Mon village: Maskinongé

 Texte et photos Danièle Miny Il y a cinq ans, je m'installais à la campagne. Je m'y suis trouvée une maison quasi centenaire où il ...